Les personnes concernées par la dissection aortique

Cette maladie est observée chez les personnes ayant un problème de santé comme l’hypertension, les lésions ou d’autres pathologies courantes. Les individus d’une couleur noire, hypertendue sont ceux qui courent le plus de risques pour ce type de maladie. Elle atteint surtout les personnes de 50 à 65 ans. Il est également très fréquent chez les patients atteints de pathologies en rapport avec le tissu conjonctif.
La dissection aortique est provoquée par la déchirure de la paroi de l’artère. Elle est toujours associée à l’hypertension artérielle chronique. En effet, une hausse de la pression artérielle est toujours constatée chez une grande partie des patients atteinte de dissection aortique. Cependant, la détérioration de l’artère peut également venir du vieillissement ou des anomalies congénitales.

Les différents types de dissection aortique

L’aorte est un vaisseau vital, car il est le plus grand de l’organisme. Il a pour rôle de transporter l’oxygène vers les membres et le cerveau. Quelle que soit l’origine de la dissection aortique, elle déchire toujours la paroi interne de l’aorte. Elle engendre alors une perte depuis la déchirure. Elle provoque également la séparation de la couche moyenne et de la couche externe de l’aorte.
La dissection aortique est une urgence médicale. De type 1, elle débute au niveau de l’aorte ascendante et s’étend jusqu’à la crosse aortique. De type 2, elle se limite à l’aorte descendante. Et la dissection aortique type 3 se manifeste au niveau de l’aorte thoracique. Cette dissection aortique atteint environ 50 % des patients.

Le traitement de la dissection aortique

Dans la majorité des cas, un cardiologue peut diagnostiquer une dissection aortique suite à la description du patient. Cependant, il peut le confirmer par une radiographie. 80 % des patients souffrant de cette maladie sortent de l’hôpital rétablis.
À son arrivée à l’hôpital, un patient atteint de cette pathologie est admis au service de soins intensifs. Le premier traitement consiste à maintenir une pression partielle et une fréquence cardiaque très basses. Elles permettent de réduire la propagation de la dissection. Son premier traitement est dans la majorité médicamenteuse avec des antihypertenseurs et des b-bloquants. Il incombe au médecin de déterminer la nécessité d’une intervention chirurgicale.

Des troubles résistants

Même les médecins sont parfois dépassés par cette situation des plus inquiétantes, surtout quand les enfants sont touchés. Cette augmentation peut s’expliquer par le changement de mentalité et des modes de garde. En effet, auparavant, un enfant qui avait le nez qui coule ou présentant un peu de fièvre pouvait quand même aller à l’école ou à la crèche et le plus souvent, les parents attendent que « ça » passe, et « ça » passait effectivement. Mais de nos jours, ces enfants malades ne sont plus acceptés en classe et les parents se voient obligés de consulter rapidement. Naturellement, les médecins prescrivent des antibiotiques. Et c’est ce recours au médical qui explique la forte hausse des troubles ORL résistants.

Les affections ORL aiguës

Le schéma classique d’une affection ORL est le suivant : des virus, allergènes ou bactéries agressent les muqueuses qui réagissent, suite à quoi un oedème se forme. Des cellules viennent alors lutter contre le phénomène ainsi que des médiateurs chimiques et c’est cette lutte qui provoque les symptômes de l’inflammation : gonflement, rougeur, fièvre, douleur. L’une des principales affections ORL : les rhinites, d’origine virale qui se manifestent par un écoulement du nez, une toux lorsqu’on est allongé, des ronflements et ce, pendant environ 7 jours. Otites et bronchites peuvent se greffer aux rhinites pour mieux compliquer les choses. Que dire de la rhino-pharyngite ? Elle sévit sur les enfants âgés de 1 à 6 ans et entraîne un écoulement nasal purulent, la gorge rouge, une température élevée mais qui peut se calmer au bout de 5 à 6 jours. Mais elle peut se compliquer par des sinusites, des otites, des bronchites et l’inflammation des ganglions.

D’autres troubles à connaître

Les sinusites sont des affections qui touchent l’enfant âgé de plus de 2 ans et se caractérisent par une toux nocturne, un manque d’appétit et une pâleur chronique. Et alors, si une prise en charge rapide et intensive n’est pas démarrée, cela peut devenir un état chronique et s’accompagner de polypes qui peuvent progressivement détruire l’intérieur du nez. Quant aux angines, elles sont d’origine virale ou microbienne et dans le cas où elles reviennent fréquemment chez un enfant, une ablation des amygdales est alors envisagée. Du côté des oreilles, les otites moyennes peuvent être plus ou moins douloureuses et en cas de répétition, ce peut devenir une otite sérieuse, des laryngites aiguës ou une épiglottite, un cas grave mais heureusement assez rare et qui impose un traitement urgent.

Les premières des maladies les plus courantes

Les maladies cardio-vasculaires sont en tête de liste des maladies les plus courantes en France. Elles fauchent la vie de presque 180 000 personnes tous les ans. Mais on peut les éviter ou en guérir en faisant attention au cholestérol et à sa tension. Les cancers constituent la 2e cause de décès en France, donc, en 2e position parmi les maladies les plus courantes. Il est indispensable de s’informer sur les facteurs de risque et des moyens de prévention, mais surtout, de consulter dès l’apparition des symptômes.

D’autres maladies les plus courantes

Les faits montrent que les problèmes liés au système nerveux et au cerveau figurent parmi les plus maladies les plus courantes et les plus graves qui soient. La dépression, l’Alzheimer, la maladie de Parkinson, l’épilepsie, l’autisme, et bien d’autres pathologies cérébrales affligent beaucoup de Français. Sur la liste des maladies les plus courantes se trouvent aussi les problèmes des voies respiratoires. Elles se traduisent par les bronchites, l’asthme, les bronchiolites ou les infections respiratoires. En outre, il y a les problèmes au niveau des parties intimes, tout à fait curables en s’y prenant à temps.

Qu’est-ce que l’hyperhidrose ?

Pouvant handicaper socialement les personnes qui en souffrent, l’hyperhidrose est tout simplement une sudation excessive à une partie du corps. Les personnes qui vivent avec cette anomalie se plaignent d’avoir les mains ou les pieds qui produisent des sueurs trop facilement. Les aisselles aussi peuvent être concernées. De manière générale, seul un endroit est atteint. Cependant, il arrive que la personne souffre d’hyperhidrose multiple. Dans tous les cas, l’ionophorèse pourra être efficace.

L’ionophorèse permet de résoudre la sudation excessive

Ayant déjà fait ses preuves auprès de nombreux patients, l’ionophorèse est une machine dédiée spécialement pour une utilisation ménagère. Cette invention est efficace quelle que soit la gravité de la transpiration excessive. Concrètement, la personne doit plonger la partie à traiter dans de l’eau où un faible courant électrique circule. Totalement indolore et sans effet secondaire, ce traitement de choc doit durer une dizaine de minutes et être répété plusieurs fois par semaine. Il faudra tout de même avoir un avis médical avant de commencer les séances.

D’autres informations concernant cette méthode électrique

Le modèle Idrostar+ fait figure de références parmi les appareils d’ionophorèse. Il s’agit d’un produit conçu et produit par le laboratoire I2M, un spécialiste de l’hypersudation. Cet appareil a reçu la certification européenne CE. Cela signifie qu’il est sans danger pour les utilisateurs. Des séries de tests ont été réalisées avant sa mise en vente sur le marché. Outre le bain électrique des mains et des pieds, il est également possible de fixer des électrodes sous les aisselles pour le traitement à l’ionophorèse.

Des raisons anatomiques

En effet, une infection urinaire peut être causée par votre anatomie et dans ce cas, vous n’y pouvez pas grand-chose. C’est le cas des sujets ayant un urètre court qui facilite l’introduction des micro-organismes dans la vessie. Avec l’âge, les risques sont plus importants.

Le manque d’hydratation

Avec le traitement d’antibiotique, votre médecin va surement vous conseiller de boire beaucoup d’eau. Le manque d’hydratation peut être à l’origine de cette infection urinaire. En buvant régulièrement, vous allez uriner plus, ce qui va éviter la stagnation de l’urine dans la vessie et la multiplication des bactéries.

Le déficit hormonal

L’infection peut également être provoquée par un déficit hormonal lié à la ménopause. À ce stade, la femme produit moins d’œstrogène et c’est ce qui fait l’infection urinaire. Cependant, pour l’éviter, il est possible de prendre un traitement de substitution. Pour ceci, rendez-vous chez votre médecin.

La grossesse ou la constipation

Lorsqu’on est enceinte ou constipée, la vessie est comprimée par l’utérus ou l’intestin. Cette situation favorise une stase urinaire et provoque une multiplication de bactéries. Dans ces cas, la seule prévention est l’hydratation.

Les vêtements trop serrés

On parle ici des pantalons et des sous-vêtements trop serrés. Aussi improbable que cela puisse paraître, ces vêtements peuvent être à l’origine d’une infection urinaire. Vu qu’ils sont trop près du corps, ils favorisent la propagation des bactéries. Même si les vêtements moulants sont très tendance, évitez de les porter tous les jours pour ne pas s’exposer aux infections.

Thérapie cognitivo-comportementale (TCC)

La TCC est un traitement psychologique structuré qui reconnaît que la façon dont nous pensons (cognition) et agissons (comportement) affecte la façon dont nous nous sentons. La TCC implique de travailler avec un professionnel (thérapeute) pour identifier les schémas de pensée et de comportement qui vous rendent plus susceptible de devenir anxieux ou qui vous empêchent de vous améliorer lorsque vous êtes anxieux. Une fois que vous avez identifié des schémas inutiles qui contribuent à votre anxiété, vous pouvez apporter des changements et améliorer vos capacités d’adaptation.
Les professionnels peuvent utiliser une gamme de techniques dans la TCC comme inciter le patient à reconnaître la différence entre les soucis productifs et improductifs ou à l’apprendre à abandonner les soucis et à résoudre des problèmes. La TCC peut être dispensée en tête-à-tête avec un professionnel, en groupe ou en ligne.

La thérapie comportementale

Bien que la thérapie comportementale est une composante majeure de la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), contrairement à la TCC, elle ne tente pas de changer les croyances et les attitudes. Au lieu de cela, elle se concentre sur l’encouragement à la réalisation d’activités gratifiantes, plaisantes ou qui procurent un sentiment de satisfaction, dans le but d’inverser les schémas d’évitement et d’inquiétude qui aggravent l’anxiété.

Les e-thérapies

Egalement appelées thérapies en ligne ou thérapie psychologique assistée par ordinateur, elles peuvent être tout aussi efficaces que les services en face-à-face pour les personnes souffrant d’anxiété légère à modérée. La plupart des e-thérapies suivent les mêmes principes que la thérapie cognitivo-comportementale ou la thérapie comportementale, et la nature structurée de ces traitements signifie qu’ils sont bien adaptés pour être administrés en ligne.

Mieux comprendre les causes

Différentes raisons peuvent favoriser l’apparition d’une infection urinaire, telles que le fait de se retenir trop longtemps, les relations sexuelles à répétition, les diabètes, la grossesse et même la ménopause.

Les remèdes naturels les plus efficaces

• Les graines de citrouille
Les graines de citrouille sont très bénéfiques les voies urinaires. Elles ont une propriété anti-inflammatoire qui soulage les problèmes cystites et de la prostate chez les hommes. Pour profiter sur ses bienfaits, il faut les griller jusqu’à ce qu’elle atteigne une belle coloration. Les graines peuvent être consommées tous les jours, en association avec les prescriptions du médecin.
• Le concombre
Riche en vitamine K et C, le concombre est très efficace pour lutter contre les infections. Il constitue un excellent antibactérien et anti-inflammatoire. Le concombre peut être mangé sous forme de salade, en jus avec des carottes et des betteraves, pour un apport en vitamines A et C.
• Le persil
Le persil a un effet diurétique naturel. Il est un excellent antibactérien. Pour traiter les infections urinaires, il faut boire deux tasses d’eaux avec deux cuillérées à soupe de persil séché, mijotées durant 10 minutes. Vous pouvez également le préparer sous forme de jus avec du concombre et un jus d’ananas.
• Le radis
Le radis est un excellent antimicrobien. Il constitue également un antibiotique naturel puisqu’il inhibe la croissance des bactéries dans les voies urinaires. Pour plus d’efficacité, associez les racines de radis avec peu d’eau tiède. Vous pouvez boire le breuvage trois fois par jour. Le radis peut également être utilisé comme un condiment pour donner un peu de goût à vos plats.

Contrôler sa tension artérielle régulièrement

Si vous savez que vous êtes touché par cette maladie chronique, il est important de contrôler régulièrement votre tension artérielle avec un tensiomètre. À l’utilisation de celui-ci, vous aurez deux valeurs, dont la tension systolique qui est la pression maximale et la tension diastolique qui est la pression minimale. Si on indique une pression systolique supérieure à 14 cmHg ou une pression diastolique supérieure à 9cmHg, c’est que vous êtes bien au-dessus de la normale.

Faire attention à ce qu’il y a dans son assiette

En cas d’hypertension artérielle, vous devez limiter au maximum la consommation de sel. Pensez également à bien équilibrer votre alimentation avec 5 fruits et légumes par jour. Privilégiez les viandes maigres et faites attention à la consommation des graisses, notamment les graisses saturées. Prenez aussi des graines complètes et des aliments riches en potassium pour maintenir la tension artérielle à la normale. L’eau est également indispensable à votre santé : buvez entre 1,5 et 2 litres par jour.

Prendre d’autres précautions

Pour votre santé, vous devez également faire attention à votre poids. Il ne s’agit pas ici d’être le plus mince possible, mais d’avoir un poids sain, plus précisément un IMC entre 18,5 et 25. Faites régulièrement du sport : si vous avez le temps, consacrez au moins 30 minutes par jour à une activité physique. Pensez aussi à faire de la méditation ou du yoga pour réduire et gérer votre stress. Arrêtez la cigarette et limitez votre consommation d’alcool. Ne négligez pas votre sommeil.